SUSCEPTIBILITÉ ANTIFONIQUE ET TEST POUR LA CURE D'ESPÈCES DE CANDIDA ENTRE LES PATIENTS DE CANDIDASES VULVOVAGINALES DANS UN HÔPITAL DE SOINS SECONDAIRES, NIGERIA

Ejike, C. E1; Agbakoba, N. R2; Ezeanya, C. C3; Emele, F. E4; Oguejiofor, C. B5 & Dirisu, J.2

1 Département de microbiologie médicale, Chukwuemeka Odimegwu Ojukwu University, Awka Campus, Nigéria; 2 Département de sciences du laboratoire médical, Université Nnamdi Azikiwe, campus de Nnewi. Nigeria; Établissement en 3D de microbiologie médicale, Edo University Iyamho, Edo State, Nigéria; 4 Ministère de la Microbiologie médicale et de la Parasitologie, Université Nnamdi Azikiwe, Campus Nnewi, Nigéria; 5 Département d'obstétrique et de gynécologie, Nnamdi Azikiwe University Nnewi Campus, Nnewi, Nigéria.

Correspondant Auteur: Ezeanya Chinyere C. chi_chi34@yahoo.com

ABSTRAIT                                                                                                                                                                                                                                Contexte: La résistance aux antimicrobiens chez les espèces de Candida est un problème de santé publique intense. L'objectif de l'étude était de déterminer le schéma de susceptibilité aux antifongiques et le test de guérison des espèces de Candida parmi les femmes en âge de procréer qui ont visité l'hôpital général de Onitsha, au Nigeria, avec des symptômes suggérant une candidose vulvovaginale (VVC).                                                                                                                                                                                                                                        

Matériaux et méthodes: huit cent soixante-seize six patientes ont participé à l'étude des prélèvements vaginaux élevés collectés et évalués par mycologie par méthodes microbiologiques standard: examen microscopique et culture à l'aide de la gélose sabouraud dextrose (SDA). La susceptibilité des isolats à 4 agents antifongiques a été testée en utilisant une méthode de dilution en agar. Une évaluation clinico-mycologique a également été réalisée chez les patients.

Résultat: une concentration minimale minimale d'inhibition (MIC) en anatoxines azoliques a été observée principalement chez les espèces non-albicans Candida de plus en plus impliquées dans VVC. Le taux de résolution mycologique était plus élevé que le soulagement symptomatique à 2 semaines après le traitement par un médicament antifongique.

Conclusion: Un traitement efficace de la VVC nécessite une connaissance adéquate des agents causaux et, plus important encore, des antimicrobiens auxquels ils présentent une forte susceptibilité.

Mots-clés: Candidiase Vulvovaginale, Clinico-mycologie, Résistance Antimicrobienne, Espèces Candida